Un parcours d'adresses

« Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’on fait », disait Mark Twain

En ce qui concerne Jérémie Vanopdenbosch, c’est plutôt l’inverse : c’est parce qu’il savait que c’était impossible qu’il l’a fait.

À commencer par mener trois vies en une. Assurer des missions de consultance en tant qu’ingénieur civil auprès du top management et des comités exécutifs d’entreprises du CAC 40. Développer sa marque VVPrime et le produit-phare qu’il a créé avec son père, le designer Kristoch : un dispositif qui permet de fixer, en toute sécurité, les fontaines d’artifices sur les bouteilles de champagne. Et enfin, s’imposer comme l’un des networkeurs les plus influents de sa génération ! Parmi ceux qui ont croisé sa route, des hommes d’affaires, des politiciens, des têtes couronnées, des artistes, des athlètes, des DJ, des joailliers, des mannequins et créateurs de mode… Des centaines de contacts déterminants et privilégiés, venant de tous les horizons et réunis par un même dénominateur commun : le talent.

« Si l’on veut gagner du temps, il faut savoir s’entourer de personnes qui ont réussi et qui nous inspirent, commente le trentenaire Bruxellois. C’est important d’avoir un diplôme, mais ça ne suffit pas pour avancer dans la vie. Il faut aussi investir en soi : se former en permanence – suivre des séminaires, lire des ouvrages pertinents, se faire coacher par les meilleurs… – et, surtout, cultiver notre réseau pour augmenter nos chances de réussite dans les domaines qui nous intéressent. Il n’est pas seulement question d’influence ici… Ni de réseautage pour être informé avant les autres, introduit auprès des bonnes personnes, se construire une clientèle, etc. Côtoyer des personnalités constructives, partager les retours d’expérience de gens qui ont connu des success stories, ça dope l’empowerment, ça booste, ça donne envie de dépasser à notre tour nos limites. »

Être audacieux et saisir sa chance

Le challenge, un moteur pour Jérémie Vanopdenbosch ! « Au boulot, on m’a surnommé Œil de Lynx, car je repère les failles que les autres ne voient pas. Je peux passer des heures à examiner des chiffres pour identifier ce qui coince et proposer des solutions innovantes pour y remédier. Comme, par exemple, l’IT RoadMap, un modèle de suivi et d’analyse que j’ai conçu pour BNP Paribas – il a d’ailleurs attiré l’attention du CEO, Jean-Laurent Bonnafé, et a ensuite été diffusé dans tout le groupe. Tant que je n’ai pas résolu le casse-tête ou trouvé la solution à l’énigme, je ne lâche pas. Depuis tout petit, je fonctionne au défi. Quand je me suis mis au sport, je me suis fixé comme objectif de devenir champion de Belgique. Et je l’ai été en sauvetage aquatique à 18 ans. » Ce n’était pourtant pas gagné d’avance. Deux ans plus tôt, en 1998, alors qu’il s’était intensivement entrainé en vue des championnats juniors, le jeune homme est forcé de sortir de l’eau à la suite d’une grave blessure au genou.

Opération, immobilisation, rééducation : impossible de participer à la compétition. « J’aurais pu raccrocher à ce moment-là, car tout était à refaire, je devais repartir de zéro. Mais mon esprit de compète ne l’entendait pas de cette oreille. J’ai recommencé à nager alors que les fils de suture étaient toujours présents. Je me suis entraîné des mois et des mois, dopé par l’émulation entre mes frères et moi. » Cette régularité dans l’effort, renforcée par un stage intensif un mois avant le championnat, a payé : en 2000, Jérémie grimpe sur la première marche du podium. On a coutume de dire que la chance sourit aux audacieux… « C’est vrai, admet-il. J’ai travaillé dur pour cette victoire mais j’ai aussi forcé le destin en allant m’entraîner au bon endroit au bon moment. Durant les vacances de Pâques, j’ai fréquenté une autre piscine. J’y ai été repéré par la coach du club de natation qui m’a pris sous son aile et m’a super bien préparé à la compétition. Je nageais jusqu’à 10 km par jour. Après je rampais jusqu’aux vestiaires, mais c’est ce surpassement qui a clairement changé la donne. »

Dépasser ses croyances pour oser

Cet exemple illustre le point fort de Jérémie Vanopdenbosch : son don pour imbriquer les pièces des puzzles. Il a le chic pour s’entourer des personnes-clés et les connecter intelligemment entre elles, de façon à obtenir le résultat escompté, aussi incroyable soit-il. Qu’il s’agisse de boire une bière avec Leonardo DiCaprio dans la villa de l’acteur. D’échanger avec des stars comme Paul McCartney, Giorgio Armani, Robert Pattinson, Kanye West, Bradley Cooper, Brad Pitt et Angelina Jolie. De superviser la participation des chanteurs Stromae et Bastian Baker à la cérémonie des World Music Awards à Monaco. De collaborer sur des événements internationaux avec l’ancien champion de roller, aujourd’hui entrepreneur dans les télécoms, Taïg Khris, avec le DJ Michaël Canitrot ou encore avec le créateur de mode Christian Audigier. De gérer des artistes internationaux lors de leur passage en Belgique (organisation de rencontres professionnelles, d’events, etc.).

« Ça a l’air facile, en apparence, le networking, mais ça ne marche pas à tous les coups, ni toujours du premier coup, confie l’expert. Ça ne dépend pas seulement du travail accompli, même s’il y en a beaucoup derrière chaque réseautage. Cela nécessite aussi une bonne dose de débrouillardise, du culot pour saisir sa chance ainsi que de la persévérance pour dépasser les nombreux refus. Le rejet est un processus normal, je ne le prends pas personnellement mais avec du recul. J’ai appris à dépasser mes croyances, à changer ma perception des choses pour adopter de nouvelles habitudes et oser. Au pire, un moment de honte est vite passé. Mieux vaut essuyer un « non » que de vivre avec des regrets ! »

 

Et le spécialiste en réseautage de poursuivre : « Christian Audigier, par exemple, il a fallu plein d’étapes pour que je puisse enfin le rencontrer. Connaissant mes connexions dans le milieu de la mode, Alexandre Bodart Pinto, le CEO de l’agence de communication événementielle VIP Belgium, m’avait demandé d’organiser un défilé sur un yacht pendant le Festival de Cannes. À la recherche d’une marque de vêtements à connotation belge, j’avais tout de suite pensé à Smet, la ligne créée par Johnny Hallyday et Christian Audigier. Je me suis alors rendu dans le flagship store parisien du couturier pour présenter mon projet. Deux heures plus tard, je sortais du bureau du directeur Europe, le deal en poche. La veille du défilé, grâce à mon carnet relationnel, j’ai pu donner l’opportunité à une top-modèle belge de monter les célèbres marches, vêtue de la collection de Christian Audigier. Cela a été relayé par le JT de TF1 et j’ai été convié à la soirée d’anniversaire du couturier, quelques jours après, en guise de remerciement. Mais ce n’est que plusieurs semaines plus tard, sur un autre continent, à Los Angeles où j’ai pris le risque de me rendre sans rendez-vous, que j’ai pu lui parler. Plus tard, nous avons collaboré sur un show au Brésil avec Ronaldinho en guest. On s’est aussi vu à Ibiza, on a discuté autour d’un café sur son yacht. Ces souvenirs font partie des moments forts de ma carrière. Christian Audigier était quelqu’un que j’admirais énormément. Parti de rien, il s’est construit tout seul à force de persévérance. Sa devise était : « insister, c’est exister ». J’adore… »

Développer des talents et les connecter

« Jérémie Vanopdenbosch, c’est LA personne à contacter si l’on souhaite, en tant que marque ou célébrité, se faire connaître en Belgique, résume Taïg Khris, un partenaire de longue date. Il fait très bien le buzz, et toujours dans la bonne humeur. Quand j’ai lancé mon service OnOff en Belgique, il m’a permis de faire en l’espace d’une semaine le tour des médias du royaume, à la suite de quoi mon application s’est hissée à la première place des recherches sur l’Apple Store en Belgique. On peut avoir confiance en son sérieux. C’est quelqu’un d’intègre et de humble. Un caméléon qui s’adapte à toutes les personnes et à tous les milieux. » En témoignent son solide réseau ainsi que son parcours professionnel où il switche en permanence du milieu événementiel à celui des affaires et de la finance.

Comme le souligne Julien Coppola, spécialiste du marketing digital et CEO de la marque de bracelets personnalisables Spell On Me (aujourd’hui, la marque a fusionné avec Mya Bay) : « De prime abord, le personnage a de quoi intriguer. Il a l’air de connaître la moitié de la planète, on peut se demander si c’est du lard ou du cochon. Mais très vite, la confiance s’installe, parce que les résultats suivent. Quand Jérémie dit, Jérémie fait. Il m’a proposé de placer mes bracelets auprès de célébrités internationales au Festival de Cannes. J’ai pris le risque d’en produire quelques-uns pour l’occasion. Et, grâce à son carnet d’adresses, ma marque s’est retrouvée aux poignets des anges de Victoria’s Secret : Ana Beatriz Barros, Adriana Lima, Alessandra Ambrosio qui portait, d’ailleurs, le sien lorsqu’elle a brandi la flamme olympique lors des JO de Rio en 2016. Jérémie Vanopdenbosch m’a aussi permis de faire des rencontres intéressantes et de présenter ma collection à des influenceurs dans de bien meilleures conditions que par mail. Et sinon, c’est vraiment un chouette garçon ».

Repousser ses limites

Même si pas mal de rencontres exceptionnelles ont émaillé son parcours, Jérémie Vanopdenbosch a toujours gardé la tête froide et les deux pieds sur terre. Impossible sinon d’assumer les hautes responsabilités et enjeux stratégiques inhérents à ses activités quotidiennes de consultance. Le secret de son équilibre ? « Beaucoup de sport pour garder l’énergie, être passionné par tout ce que j’entreprends et, fondamental, faire preuve d’une excellente organisation. À l’université déjà, durant mes études d’ingénieur civil en mathématiques appliquées (mineure en économétrie et économie), j’ai toujours réussi en première session. Pourtant, je sortais énormément, faisais partie de l’équipe universitaire de natation, tout en suivant une formation pour obtenir le brevet supérieur de sauvetage aquatique (BSSA). »

Un sens aigu de l’organisation, doublé d’une forte détermination, avec un goût très prononcé pour le challenge, et une intarissable soif d’apprendre, de découvrir et de connecter des talents… Quand est-ce que Jérémie Vanopdenbosch appuie sur le bouton pause ? « Quand je suis chez moi, au calme, face à la nature. Et encore… je n’arrive pas à rester oisif. J’aime produire, être en mouvement, repousser mes limites. » Un constat que partage Maria Tisi, la responsable financière des grands programmes du groupe BNP Paribas en Belgique, pour qui il a réalisé pendant près de trois ans des analyses décisionnelles dont les enjeux portaient sur plusieurs milliards d’euros : « Parfois il travaille un peu trop, mais ça ne se reflète jamais dans la qualité de son travail. C’est quelqu’un de fiable, de disponible, qui comprend vite et qui maîtrise autant sa technique professionnelle que relationnelle. Quand on lui confie une mission, il ne se contente pas de vite exécuter les tâches, il va jusqu’au bout des choses. Il a beaucoup d’atouts pour lui. » Beaucoup de projets aussi, tous articulés autour d’un même axe : connecter les talents !

Un parcours d'adresses

« Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’on fait », disait Mark Twain

En ce qui concerne Jérémie Vanopdenbosch, c’est plutôt l’inverse : c’est parce qu’il savait que c’était impossible qu’il l’a fait.

À commencer par mener trois vies en une. Assurer des missions de consultance en tant qu’ingénieur civil auprès du top management et des comités exécutifs d’entreprises du CAC 40. Développer sa marque VVPrime et le produit-phare qu’il a créé avec son père, le designer Kristoch : un dispositif qui permet de fixer, en toute sécurité, les fontaines d’artifices sur les bouteilles de champagne. Et enfin, s’imposer comme l’un des networkeurs les plus influents de sa génération ! Parmi ceux qui ont croisé sa route, des hommes d’affaires, des politiciens, des têtes couronnées, des artistes, des athlètes, des DJ, des joailliers, des mannequins et créateurs de mode… Des centaines de contacts déterminants et privilégiés, venant de tous les horizons et réunis par un même dénominateur commun : le talent.

« Si l’on veut gagner du temps, il faut savoir s’entourer de personnes qui ont réussi et qui nous inspirent, commente le trentenaire Bruxellois. C’est important d’avoir un diplôme, mais ça ne suffit pas pour avancer dans la vie. Il faut aussi investir en soi : se former en permanence – suivre des séminaires, lire des ouvrages pertinents, se faire coacher par les meilleurs… – et, surtout, cultiver notre réseau pour augmenter nos chances de réussite dans les domaines qui nous intéressent. Il n’est pas seulement question d’influence ici… Ni de réseautage pour être informé avant les autres, introduit auprès des bonnes personnes, se construire une clientèle, etc. Côtoyer des personnalités constructives, partager les retours d’expérience de gens qui ont connu des success stories, ça dope l’empowerment, ça booste, ça donne envie de dépasser à notre tour nos limites. »

Être audacieux et saisir sa chance

Le challenge, un moteur pour Jérémie Vanopdenbosch ! « Au boulot, on m’a surnommé Œil de Lynx, car je repère les failles que les autres ne voient pas. Je peux passer des heures à examiner des chiffres pour identifier ce qui coince et proposer des solutions innovantes pour y remédier. Comme, par exemple, l’IT RoadMap, un modèle de suivi et d’analyse que j’ai conçu pour BNP Paribas – il a d’ailleurs attiré l’attention du CEO, Jean-Laurent Bonnafé, et a ensuite été diffusé dans tout le groupe. Tant que je n’ai pas résolu le casse-tête ou trouvé la solution à l’énigme, je ne lâche pas. Depuis tout petit, je fonctionne au défi. Quand je me suis mis au sport, je me suis fixé comme objectif de devenir champion de Belgique. Et je l’ai été en sauvetage aquatique à 18 ans. » Ce n’était pourtant pas gagné d’avance. Deux ans plus tôt, en 1998, alors qu’il s’était intensivement entrainé en vue des championnats juniors, le jeune homme est forcé de sortir de l’eau à la suite d’une grave blessure au genou.

Opération, immobilisation, rééducation : impossible de participer à la compétition. « J’aurais pu raccrocher à ce moment-là, car tout était à refaire, je devais repartir de zéro. Mais mon esprit de compète ne l’entendait pas de cette oreille. J’ai recommencé à nager alors que les fils de suture étaient toujours présents. Je me suis entraîné des mois et des mois, dopé par l’émulation entre mes frères et moi. » Cette régularité dans l’effort, renforcée par un stage intensif un mois avant le championnat, a payé : en 2000, Jérémie grimpe sur la première marche du podium. On a coutume de dire que la chance sourit aux audacieux… « C’est vrai, admet-il. J’ai travaillé dur pour cette victoire mais j’ai aussi forcé le destin en allant m’entraîner au bon endroit au bon moment. Durant les vacances de Pâques, j’ai fréquenté une autre piscine. J’y ai été repéré par la coach du club de natation qui m’a pris sous son aile et m’a super bien préparé à la compétition. Je nageais jusqu’à 10 km par jour. Après je rampais jusqu’aux vestiaires, mais c’est ce surpassement qui a clairement changé la donne. »

Dépasser ses croyances pour oser

Cet exemple illustre le point fort de Jérémie Vanopdenbosch : son don pour imbriquer les pièces des puzzles. Il a le chic pour s’entourer des personnes-clés et les connecter intelligemment entre elles, de façon à obtenir le résultat escompté, aussi incroyable soit-il. Qu’il s’agisse de boire une bière avec Leonardo DiCaprio dans la villa de l’acteur. D’échanger avec des stars comme Paul McCartney, Giorgio Armani, Robert Pattinson, Kanye West, Bradley Cooper, Brad Pitt et Angelina Jolie. De superviser la participation des chanteurs Stromae et Bastian Baker à la cérémonie des World Music Awards à Monaco. De collaborer sur des événements internationaux avec l’ancien champion de roller, aujourd’hui entrepreneur dans les télécoms, Taïg Khris, avec le DJ Michaël Canitrot ou encore avec le créateur de mode Christian Audigier. De gérer des artistes internationaux lors de leur passage en Belgique (organisation de rencontres professionnelles, d’events, etc.).

« Ça a l’air facile, en apparence, le networking, mais ça ne marche pas à tous les coups, ni toujours du premier coup, confie l’expert. Ça ne dépend pas seulement du travail accompli, même s’il y en a beaucoup derrière chaque réseautage. Cela nécessite aussi une bonne dose de débrouillardise, du culot pour saisir sa chance ainsi que de la persévérance pour dépasser les nombreux refus. Le rejet est un processus normal, je ne le prends pas personnellement mais avec du recul. J’ai appris à dépasser mes croyances, à changer ma perception des choses pour adopter de nouvelles habitudes et oser. Au pire, un moment de honte est vite passé. Mieux vaut essuyer un « non » que de vivre avec des regrets ! »

 

Et le spécialiste en réseautage de poursuivre : « Christian Audigier, par exemple, il a fallu plein d’étapes pour que je puisse enfin le rencontrer. Connaissant mes connexions dans le milieu de la mode, Alexandre Bodart Pinto, le CEO de l’agence de communication événementielle VIP Belgium, m’avait demandé d’organiser un défilé sur un yacht pendant le Festival de Cannes. À la recherche d’une marque de vêtements à connotation belge, j’avais tout de suite pensé à Smet, la ligne créée par Johnny Hallyday et Christian Audigier. Je me suis alors rendu dans le flagship store parisien du couturier pour présenter mon projet. Deux heures plus tard, je sortais du bureau du directeur Europe, le deal en poche. La veille du défilé, grâce à mon carnet relationnel, j’ai pu donner l’opportunité à une top-modèle belge de monter les célèbres marches, vêtue de la collection de Christian Audigier. Cela a été relayé par le JT de TF1 et j’ai été convié à la soirée d’anniversaire du couturier, quelques jours après, en guise de remerciement. Mais ce n’est que plusieurs semaines plus tard, sur un autre continent, à Los Angeles où j’ai pris le risque de me rendre sans rendez-vous, que j’ai pu lui parler. Plus tard, nous avons collaboré sur un show au Brésil avec Ronaldinho en guest. On s’est aussi vu à Ibiza, on a discuté autour d’un café sur son yacht. Ces souvenirs font partie des moments forts de ma carrière. Christian Audigier était quelqu’un que j’admirais énormément. Parti de rien, il s’est construit tout seul à force de persévérance. Sa devise était : « insister, c’est exister ». J’adore… »

Développer des talents et les connecter

« Jérémie Vanopdenbosch, c’est LA personne à contacter si l’on souhaite, en tant que marque ou célébrité, se faire connaître en Belgique, résume Taïg Khris, un partenaire de longue date. Il fait très bien le buzz, et toujours dans la bonne humeur. Quand j’ai lancé mon service OnOff en Belgique, il m’a permis de faire en l’espace d’une semaine le tour des médias du royaume, à la suite de quoi mon application s’est hissée à la première place des recherches sur l’Apple Store en Belgique. On peut avoir confiance en son sérieux. C’est quelqu’un d’intègre et de humble. Un caméléon qui s’adapte à toutes les personnes et à tous les milieux. » En témoignent son solide réseau ainsi que son parcours professionnel où il switche en permanence du milieu événementiel à celui des affaires et de la finance.

Comme le souligne Julien Coppola, spécialiste du marketing digital et CEO de la marque de bracelets personnalisables Spell On Me (aujourd’hui, la marque a fusionné avec Mya Bay) : « De prime abord, le personnage a de quoi intriguer. Il a l’air de connaître la moitié de la planète, on peut se demander si c’est du lard ou du cochon. Mais très vite, la confiance s’installe, parce que les résultats suivent. Quand Jérémie dit, Jérémie fait. Il m’a proposé de placer mes bracelets auprès de célébrités internationales au Festival de Cannes. J’ai pris le risque d’en produire quelques-uns pour l’occasion. Et, grâce à son carnet d’adresses, ma marque s’est retrouvée aux poignets des anges de Victoria’s Secret : Ana Beatriz Barros, Adriana Lima, Alessandra Ambrosio qui portait, d’ailleurs, le sien lorsqu’elle a brandi la flamme olympique lors des JO de Rio en 2016. Jérémie Vanopdenbosch m’a aussi permis de faire des rencontres intéressantes et de présenter ma collection à des influenceurs dans de bien meilleures conditions que par mail. Et sinon, c’est vraiment un chouette garçon ».

Repousser ses limites

Même si pas mal de rencontres exceptionnelles ont émaillé son parcours, Jérémie Vanopdenbosch a toujours gardé la tête froide et les deux pieds sur terre. Impossible sinon d’assumer les hautes responsabilités et enjeux stratégiques inhérents à ses activités quotidiennes de consultance. Le secret de son équilibre ? « Beaucoup de sport pour garder l’énergie, être passionné par tout ce que j’entreprends et, fondamental, faire preuve d’une excellente organisation. À l’université déjà, durant mes études d’ingénieur civil en mathématiques appliquées (mineure en économétrie et économie), j’ai toujours réussi en première session. Pourtant, je sortais énormément, faisais partie de l’équipe universitaire de natation, tout en suivant une formation pour obtenir le brevet supérieur de sauvetage aquatique (BSSA). »

Un sens aigu de l’organisation, doublé d’une forte détermination, avec un goût très prononcé pour le challenge, et une intarissable soif d’apprendre, de découvrir et de connecter des talents… Quand est-ce que Jérémie Vanopdenbosch appuie sur le bouton pause ? « Quand je suis chez moi, au calme, face à la nature. Et encore… je n’arrive pas à rester oisif. J’aime produire, être en mouvement, repousser mes limites. » Un constat que partage Maria Tisi, la responsable financière des grands programmes du groupe BNP Paribas en Belgique, pour qui il a réalisé pendant près de trois ans des analyses décisionnelles dont les enjeux portaient sur plusieurs milliards d’euros : « Parfois il travaille un peu trop, mais ça ne se reflète jamais dans la qualité de son travail. C’est quelqu’un de fiable, de disponible, qui comprend vite et qui maîtrise autant sa technique professionnelle que relationnelle. Quand on lui confie une mission, il ne se contente pas de vite exécuter les tâches, il va jusqu’au bout des choses. Il a beaucoup d’atouts pour lui. » Beaucoup de projets aussi, tous articulés autour d’un même axe : connecter les talents !

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